Je n'ai pas accroché immédiatement. Les premières pages m'ont fait pensé à un polar sans intérêt, puis je me suis laissée prendre au jeu, je voulais connaître l'issue de cette course poursuite où les éléments étaient de plus en plus intriguants mais je suis un peu déçue par la fin.
Dans la version Pocket (celle que j'ai acheté), intérêt moyen jusqu'à la page 81, un peu de suspens et une poussée d'adrénaline jusqu'à la page 131. De la page 155 à 169, un flash back, une parenthèse... Dans la 2ème partie, le suspens est à son comble, j'ai vraiment envie de comprendre ce qui se passe... jusqu'à la page 394. Là, petite déception puis regain de curiosité. La 4ème partie est l'issue, ça y est, c'est terminé. Les 3 dernières pages sont la cerise sur le gâteau.
Ce n'est pas le roman de Musso que je préfère mais lisez-le et dites moi ce que vous en pensez...
(PS. Ce livre m'a fait pensé, dans l'idée générale, à "Déclic" de Patrick Cauvin. Si vous avez lu ce livre vous me comprendrez, si ce n'est pas le cas, je vous invite à le découvrir, il est trés intéressant.)
Le divorce les avait séparés…
… la disparition mystérieuse de leur fils Jérémy va les réunir.
Artiste bohème au tempérament de feu, Nikki fait irruption dans la vie sage et bien rangée de Sebastian Larabee, luthier réputé. Tout les oppose, mais ils s’aiment passionnément. Ils se marieront et donneront naissance à Camille et Jeremy, des jumeaux aussi différents que leurs parents peuvent l'être.
Le mariage tournera court, la haine remplacera peu à peu l’amour. Au terme d’un divorce orageux, Sébastian impose la garde de Jérémy à Nikki, très "cool" avec son fils et lui-même éduque sa fille avec une grande rigueur. allant jusqu'à inspecter sa chambre en son absence. Les années passent, 7 ans... Chacun refait sa vie, loin de l’autre. Puis un jour, Nikki appelle Sebastian à l'aide, Jeremy a mystérieusement disparu. Fugue ? Kidnapping ? Contraints d’unir leurs forces, Nikki et Sebastian s’engagent alors dans une course-poursuite, une sorte de jeu de piste, de New York à Paris, traqués par Constance Lagrange de la brigade nationale de recherches des fugitifs, jusqu'en Amazonie, retrouvant ainsi une intimité qu’ils croyaient perdue à jamais.
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